police

Bipeur

Bipeurs pour enseignants : renforcement apparent ou solution illusoire ?

Le 29/03/2025

Le récent incident survenu au collège des Ormeaux à Fontenay-aux-Roses, où une professeure d’éducation physique et sportive a été violemment agressée par d’anciens élèves de 13 ans alors qu’elle se trouvait à l’extérieur de l’établissement, relance le débat sur la sécurité dans les établissements scolaires. Dans ce contexte, la ministre de l’Éducation nationale a proposé d’équiper les enseignants de bipeurs, une mesure qui suscite autant d’enthousiasme que de critiques.

Cnews

Attentat de Mulhouse et interpellation d'AMRA

Le 27/02/2025

Mercredi 26 février 2025, j'intervenais en direct sur le plateau de l'émission Midinews présentée par Sonia Mabrouk sur CNEWS.

J'ai réagi à propos de l'attentat à Mulhouse dont l'individu était sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français (OQTF) et une interdiction de territoire français (ITF) pendant 10 ans.

Le fait d'appendre que cet individu, ressortissant d'Algérien, a été refoulé de son pays d'origine à 14 reprises, pose le problème des accords binationaux de 1968 qui doivent être revus avec l'Algérie, l'exécution des OQTF et la gestion de l'immigration irrégulière.

Je suis ensuite intervenu sur l'interpellation de Mohamed Amra et l'excellent travail de la PJ et la coopération européenne, les conditions de sa détention, la question de l'établissement pénitentiaire pour les 100 plus gros narcotrafiquants.

Enfin, j'ai donné mon avis en tant que téléspectateur sur la fermeture de la chaîne

Mineurs delinquants

Justice des mineurs

Le 15/02/2025

Entre renforcement de l’Autorité et risque d’Injustice

La récente adoption de la loi « visant à restaurer l’autorité de la justice à l’égard des mineurs délinquants et de leurs parents » suscite un débat contradictoire. D’un côté, certains voient dans cette réforme un moyen nécessaire de réaffirmer l’autorité de l’État et de répondre avec fermeté à l’augmentation de la délinquance des mineurs ; de l’autre, nombreux sont ceux qui dénoncent une politique infantilisante et stigmatisante, incapable de traiter les causes profondes de la délinquance.

Responsabilisation des mineurs et de leurs familles

Les partisans de la loi soulignent qu’une approche plus ferme permettrait de restaurer la confiance des citoyens dans la justice. En appliquant des mesures telles que la comparution immédiate pour les adolescents de 16 ans, la loi envoie un signal fort : la délinquance ne peut rester impunie. Pour eux, la sévérité des sanctions constituerait un élément dissuasif essentiel, en particulier dans un contexte où la récidive demeure un enjeu majeur.

Parmi eux, certains estiment que la loi incite à une meilleure responsabilisation non seulement des jeunes délinquants, mais également de leurs parents. En engageant la responsabilité parentale, la réforme créerait un cadre où la famille est partie prenante de la prévention et de la réhabilitation. Cette démarche, selon ses défenseurs, pourrait contribuer à briser un cercle vicieux en imposant des limites claires et en favorisant une prise de conscience collective.

Immigration clandestine

Droit du sol et submersion migratoire : vers un meilleur contrôle de l’immigration irrégulière ?

Le 09/02/2025

Le Premier ministre, François Bayrou, a récemment relancé le débat sur le droit du sol, soulevant une interrogation majeure : peut-on, à travers une modification de ce principe, freiner la submersion migratoire qui touche non seulement Mayotte, mais également d’autres territoires français ? Si le droit du sol est historiquement associé aux valeurs républicaines d’égalité et d’accueil, il est aujourd’hui remis en cause par des problématiques liées à la gestion des flux migratoires irréguliers.

Le droit du sol (jus soli) confère automatiquement la nationalité française à toute personne née sur le territoire national, parfois sous certaines conditions. Cette règle, étroitement liée aux idéaux d’égalité et de mixité qui ont façonné la République française, symbolise depuis longtemps l’ouverture du pays. Toutefois, dans un contexte de mondialisation et d’augmentation des flux migratoires, son application automatique révèle plusieurs problématiques, particulièrement dans des territoires en tension comme Mayotte où le droit du sol crée une dynamique attractive pour l’immigration irrégulière.

Oqtf

OQTF et sécurité : rien n’est réglé !

Le 07/02/2025

L'affaire récente de l'influenceur algérien Doualemn, dont l'Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF) a été annulée par la justice après une tentative d'expulsion infructueuse, met en lumière la difficulté dans la gestion des OQTF en France. Le ministre de l’Intérieur a annoncé faire appel de la décision mais cette situation démontre, une nouvelle fois, la complexité d’appliquer les procédures d'éloignement notamment par rapport aux accords bilatéraux avec les pays d'origine.

Les OQTF sont des mesures administratives prises à l'encontre des étrangers en situation irrégulière en France et leur mise en œuvre effective rencontre plusieurs obstacles.

Francois bayrou

Budget sécurité 2025 : Alliance organise une manifestation sous tension et sous contradictions

Le 03/02/2025

Alors que le nouveau premier ministre, François BAYROU, vient de dégainer son premier 49-3 pour le budget 2025 PLFSS ; il y a quelques jours, le syndicat Alliance Police Nationale a appelé à une mobilisation le 4 février 2025 devant l’Assemblée nationale.

Une telle annonce interroge sur l’objectif de protester contre le budget alloué aux forces de l’ordre dans le projet de loi de finances pour 2025, tant par son fond que par ses contradictions internes.

Un mécontentement budgétaire

Le cœur du problème réside dans la perception, par Alliance, d’une insuffisance des moyens alloués à la police nationale. Le syndicat estime que les restrictions budgétaires prévues affaibliront les capacités opérationnelles des forces de l’ordre, mettant en péril la sécurité publique. Il dénonce en outre le nom respect de la Loi d’Orientation de Programmation du ministère de l’Intérieur qui, rappelons le, l’avait conduit initialement en 2022 a signer un protocole d’accord inique pour les policiers et principalement les gardiens de la paix et les gradés.

Ce discours apparaît cohérent aux yeux des policiers avec l’image que veut véhiculer Alliance Police Nationale : celle d’un défenseur intransigeant des conditions de travail des policiers et de la nécessité de renforcer leur présence sur le terrain. Mais est-ce bien la réalité de la démarche que ce syndicat engage ?

En effet, cette mobilisation soulève plusieurs interrogations sur sa posture et ses relations avec le pouvoir politique.


 

Narcotrafic

La corruption peut être à tous les niveaux, y compris au niveau des magistrats

Le 15/11/2024

ENTRETIEN – Souhaitant afficher leur unité, les ministres de l’Intérieur, Bruno Retailleau et de la Justice, Didier Migaud étaient à Marseille pour dévoiler leur plan de lutte contre le trafic de stupéfiants. Denis Jacob, ancien policier et fondateur du syndicat Alternative Police a répondu aux questions d’Epoch Times sur les mesures annoncées.

Epoch Times – Parmi les différentes mesures détaillées par les ministres, on trouve notamment la création d’un « nouveau parquet national » dédié à la criminalité organisée. Ce dernier serait inspiré du parquet national antiterroriste. Il « donnera plus de visibilité et d’efficacité aux équipes qui œuvrent contre la criminalité organisée au niveau national et que nous devons aider et renforcer », a expliqué Didier Migaud. Comment accueillez-vous la création de cette nouvelle institution ?

Denis Jacob – On ne peut être que favorable à tout ce qui peut améliorer, accélérer et faciliter le travail à la fois des policiers et des magistrats.

Malheureusement, si c’était aussi simple, le problème serait réglé depuis longtemps. Il faut donc des magistrats et des policiers dédiés au crime organisé. Mais encore une fois, il faut y mettre les moyens. Et ce n’est pas en démantelant la Police judiciaire (PJ), comme c’est le cas aujourd’hui que nous allons y arriver ! Je rappelle que la PJ travaille sur ce qu’on appelle le haut du spectre, c’est-à-dire tout ce qui est tête de réseau et autre, au niveau du narcotrafic.

Ce qui me gêne également avec ce nouveau parquet, c’est qu’on annonce sa création sans réellement détailler le contenu. Pour ma part, j’aimerais bien qu’il soit construit tout autour d’un service compétent pour travailler en amont, c’est-à-dire le travail policier, le travail d’enquête, pas seulement constitué de policiers.

Il aurait, par exemple, été pertinent de la part des ministres d’annoncer aussi la création d’une brigade rattachée à ce parquet, constituée de policiers, de gendarmes, mais aussi de douaniers, d’administrations – notamment l’administration fiscale.

C’est d’ailleurs peut-être ce qui est prévu in fine, mais on revient toujours au même débat : quel que soit le politique, l’annonce part d’un bon sentiment, mais dire qu’on va créer un parquet national de lutte contre le narcotrafic sans préciser comment il va être articulé et constitué me paraît peu opportun.

En réalité, des annonces sont faites pour traiter les conséquences du trafic de stupéfiants, mais pas la cause.

Par ailleurs, on ne mettra pas un terme au narcotrafic en s’en occupant seulement au niveau national. Nous devons nous attaquer au mal par la racine. Ce n’est pas un problème franco-français. Il faut dialoguer avec les pays exportateurs. Pour l’instant, nous ne traitons que la revente de la drogue, alors que la distribution, la production et la transformation des produits, sont majoritairement faites, selon le type de drogue, au Mexique, en Colombie et en Afghanistan.

Et c’est sans compter tous les réseaux constitués autour d’autres produits chimiques à l’instar du LSD, de l’ecstasy, des méthamphétamines ainsi que toutes les nouvelles drogues de synthèse qui arrivent aujourd’hui sur le marché.

Si nous nous n’allons pas au-delà du problème français, nous ne réglerons rien. Penchons-nous aussi sur une meilleure gestion de la surveillance et du contrôle des aéroports et des ports, notamment ceux du Havre et de Marseille. On sait que la majorité des produits stupéfiants transitent par ces lieux. Regardons également comment nous pouvons bloquer les routes clandestines de transport de la drogue. On sait qu’il existe des routes de ce type à travers les pays, depuis la production jusqu’à l’arrivée.

Mais où sont les accords bilatéraux qui ont été signés pour renforcer la lutte contre les produits stupéfiants ? Que fait la structure de l’ONU en charge de la lutte contre le trafic de drogue ? Je me le demande.

À mon sens, ces annonces franco-françaises vont seulement avoir des effets dans certains territoires, quelques points de deal, mais ne vont en rien stopper le narcotrafic. Et puis tant qu’on aura de la consommation, on aura du trafic de stupéfiants. C’est comme tout commerce, c’est le principe de l’offre et de la demande.

Nouvelle equipe alternative

Le congrès d’Alternative police CFDT officialise le passage de relais entre Denis Jacob et Sylvain Durante

Le 30/10/2024

Le congrès d’Alternative police CFDT, mardi 29 octobre 2024, a acté la succession entre Denis Jacob et Sylvain Durante, élu secrétaire général du syndicat, après avoir assuré l’intérim depuis mai dernier (lire sur AEF info). L’unique liste dont il était à la tête a en effet été adoptée par 109 voix sur les 126 électeurs inscrits et 116 participants.

Un nouveau bureau national élu

Sylvain Durante, 40 ans, va donc diriger le syndicat pour les quatre années à venir. Brigadier OPJ depuis septembre 2007 et brigadier-chef depuis août 2023, il a exercé à la brigade d’information et de renseignement de la DOPC de la préfecture de police de Paris. Représentant syndical depuis 2016, il est secrétaire national en charge de l’Île-de-France dès 2018 puis secrétaire général adjoint d’octobre 2020 à mai 2024.

À ses côtés, Guillaume Ruet, 44 ans, est élu secrétaire général adjoint. Anciennement secrétaire national en charge de l’Île-de-France, il a également officié à la DOPC. Les six autres membres du bureau national, pour la plupart réélus, sont Thomas Krutul, trésorier, Matthieu Galvagnon, Sébastien Péréa, Laurent Noulin, Hendrick Pinto et Yvon Guyonvarch.

"Ouvrir la porte" du ministère de l’Intérieur

Denis Jacob, fondateur d’Alternative police CFDT après son départ d’Alliance police en 2015, a pris la parole pour revenir sur son parcours et présenter le bilan de son mandat. "Lutter contre les magouilles sur les avancements et les mutations a été notre fer de lance dès 2015." Il revendique la paternité de la réforme du "cycle horaire en 12h08" (lire sur AEF info), de la réforme de la police nationale par la création de filières (lire sur AEF info), de la création de l’académie de police ou encore de la réforme de la procédure pénale, "revendication d’Alternative police depuis 2015". Denis Jacob se félicite également "d’avoir entériné le partenariat avec la MGP, avec Orpheopolis et plus récemment avec la fédération européenne des syndicats de police Eu.Pol".

Le policier, aujourd’hui retraité à 57 ans, se dit "particulièrement fier du développement du syndicat", et notamment de la création de "la filière PATS au sein d’Alternative police en 2018", des personnels qui représentent environ un quart des adhérents. "On porte un syndicalisme qui est différent, et qui doit poursuivre sa progression et son développement", ajoute-t-il. "Il faut aller chercher les collègues sur le terrain, et ne pas céder face au pressing, même si la concurrence syndicale ne fait aucun cadeau."

Le syndicat a aujourd’hui "une crédibilité et une assise", soutient encore son fondateur. "Nous avons même été reçus au Sénat et à l’Assemblée nationale. Il n’y a plus qu’une porte à ouvrir, celle du ministère de l’Intérieur." Pour cela, "l’enjeu, c’est 2026". "Vous devez absolument remporter une représentativité au sein du CTRPN", enjoint-il à l’équipe qui lui succède. "C’est ce siège qui nous manque pour ouvrir la porte du ministre [et] être associés aux négociations sur les sujets police."

Grenoble meurtre lilian dejean

Drame à Grenoble : problème de réponse pénale

Le 15/09/2024

Denis Jacob est un ancien policier, fondateur du syndicat Alternative Police. Il est aujourd’hui directeur de la société Sécurité Consulting. Il analyse pour Epoch Times le meurtre de l’agent municipal grenoblois Lilian Dejean survenu le week-end dernier.

Epoch Times – Dimanche 8 septembre, un employé municipal grenoblois a été tué par balle par un individu ayant provoqué un accident de la route. Mardi, le procureur de la République de Grenoble a annoncé que sa carte d’identité a été retrouvée dans sa voiture. Selon des informations du Parisien, le tireur s’appelle Abdoul D. et a été condamné 11 fois. Il est également âgé de 25 ans. Que traduit pour vous, ce drame et le profil de cet individu ?

Denis Jacob – Les policiers et moi-même en tant qu’ancien policier désormais expert-consultant en sécurité, avons l’habitude de ce genre de profil. Nous savons très bien qu’une personne qui est armée et qui circule en grosse cylindrée est soit une personne qui est issue du grand banditisme, soit de la délinquance de réseau de trafic de drogue. Et avec l’identification de l’individu, on constate, comme d’habitude, qu’on a affaire à une personne qui n’aurait pas dû être en liberté . Mon propos peut paraître excessif, mais c’est la dure réalité de notre société.

Aujourd’hui, il y a un problème au niveau de la réponse pénale apportée. Quand des personnes ont été condamnées 11 fois comme cet individu, je crois qu’il faut les mettre hors d’état de nuire. Et mettre hors d’état de nuire une personne, cela revient à le condamner à une peine de prison ou à le mettre sous bracelet électronique, sans possibilité de quitter le domicile.  Mais en aucun cas, ce genre de personne, ne doit pas pouvoir se déplacer librement avec le risque d’attenter à la vie de quelqu’un.

Quand on observe ce profil, on se demande légitimement comment avons-nous fait pour en arriver là ?

Je crois que ceux qui nous dirigent ne se posent pas cette question et préfèrent nous ressortir le même argumentaire sur l’indépendance de la justice etc. sans comprendre que nous sommes dans une société d’extrême violence, qui ressemble de plus en plus à ce que nous pouvons trouver outre-Atlantique.

Nos parlementaires vont devoir se pencher très sérieusement sur le sujet de l’imposition de peines fermes à appliquer sans que le juge n’ait la latitude d’avoir une certaine consensualité. La politique de l’excuse qui est menée depuis des décennies nous a conduit à cette situation. Cette situation est la conséquence de causes qui ne sont pas traitées en amont, c’est-à-dire le manque de fermeté dans les sanctions.

Retraite

Retraite : c'est officiel

Le 07/08/2024

Le grand jour est arrivé en ce 1er août 2024. Aujourd'hui, je quitte définitivement la Police Nationale. Après 36 ans de métier et 32 ans de militantisme syndical, de délégué local aux plus hautes responsabilités nationales, je tourne une grande page de ma vie. Je garderai le souvenir d'une majorité de rencontres enrichissantes, d'échanges constructifs, de combats acharnés pour représenter et défendre les intérêts des policiers et d'amitiés avec les collègues, certaines autorités et parlementaires mais également journalistes

 

Europe 1 denis jacob securite consulting

JO : une parenthèse sécuritaire enchantée

Le 04/08/2024

Les athlètes brillent et la ferveur est au rendez-vous de ces JO. Mais ce ne sont pas les seules raisons de se satisfaire. La sécurité répond également présente. Aucun problème majeur n'est à signaler depuis le début des épreuves. 45.000 membres des forces de l'ordre sont mobilisés pour éviter tout acte de délinquance dans la capitale et cela fonctionne. 

Un dispositif policier exceptionnel qui ne posséde aucun trou dans la raquette. 45.000 membres des forces de l'ordre sont au rendez-vous de ces Jeux olympiques, aucun problème majeur n'est à signaler pour le moment. À tel point que les policiers qui encadrent les épreuves sont parfois applaudis, comme ce samedi quand ils sécurisaient l'installation de l'épreuve de cyclisme sur route. 

Liberte d expression

Liberté d'expression et de ton !

Le 02/08/2024

➡️ Libéré de mon devoir de réserve, bien qu'assoupli en tant que syndicaliste, je reprends aujourd'hui ma liberté d'expression et de ton.

➡️ Je continuerai d'apporter mon point de vue sur les questions de Police, de sécurité mais aussi sur tous les sujets sociaux, sociétaux, politiques ET syndicaux !

➡️ A suivre donc dans le cadre d'une nouvelle activité à venir dans quelques jours !

Denis jacob et sylvain durante

Au sein d’Alternative police CFDT, la succession de Denis Jacob se prépare

Le 01/08/2024

Le secrétaire général d’Alternative police CFDT, Denis Jacob, a passé la main à son adjoint Sylvain Durante en mai 2024, anticipant son prochain départ à la retraite.

La succession doit être actée durant un congrès prévu en octobre. "Je pars en laissant une organisation syndicale qui a un bilan, et qui est saine", estime Denis Jacob, fondateur de cette organisation créée en 2015 après son départ d’Alliance police.

Depuis sa première prise de fonctions syndicales, en 1993, Denis Jacob aura connu près de vingt ministres de l’Intérieur. À 57 ans, dont 36 passés dans la maison police, le fondateur d’Alternative police CFDT s’apprête à partir à la retraite le 1er août prochain.

Son adjoint Sylvain Durante, 40 ans, a été nommé secrétaire général par intérim en mai dernier. Denis Jacob occupe quant à lui le poste de délégué national et porte-parole. Un "tuilage" jusqu’au congrès du syndicat prévu du 28 au 30 octobre prochain à Paris, durant lequel un nouveau bureau national sera élu, explique Denis Jacob à AEF info.

Operation sentinelle

Un militaire attaqué au couteau

Le 16/07/2024

Un militaire de l'opération Sentinelle a été attaqué au couteau à gare de l'Est où il patrouillait ce mardi 16 juillet 2024. 

L'auteur, âgé de 40 ans, d'origine congolaise naturalisé français en 2006 a immédiatement été interpellé.

Il est déjà connu de la police et de la justice pour un meurtre commis en 2018 dont il a été déclaré pénalement irresponsable suite à des troubles psychiatriques et diagnostiqué schizophrène

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Sécurité : évènements sous haute surveillance

Le 14/07/2024

En ce week-end du 14 juillet, 130000 policiers et gendarmes sont mobilisés

? 10000 seront aussi mobilisés pour la manifestation anti-bassines à Melle prévue les 19 et 20 juillet

? Sans oublier les jeux olympiques et paralympiques

Elections legislatives 2024

Législatives : Risques importants de débordement au soir du 2ème Tour !

Le 09/07/2024

Un dispositif conséquent de sécurité est mis en place dimanche 7 juillet au soir.

30000 policiers et gendarmes mobilisés dont 5000 à Paris et la banlieue seront déployés pour garantir la sécurité et l'ordre public. le risque de violences importantes sur le territoire nationale est pris très au sérieux. En cas de débordement, les policiers seront les premières cibles des potentielles violences quel que soit le résultat électoral.

La responsabilité de cette situation incombe à La France insoumise, par ces propos antiflics récurrents. Le programme politique qu'il porte prône le démantèlement et de désarmement de la police. C'est un signal fort d'anarchie, de chaos et un rejet de toute forme d'autorité notamment celle de la Police

 

Resultats legislatives 2024

Législatives 2024

Le 09/07/2024

ANALYSE - Une France ingouvernable et en insécurité ?

Dimanche 7 juillet à 20h00, les résultats des élections législatives anticipées ont dessiné une carte politique divisée, éclatée, écartelée et clivée !

La campagne éclaire n’a pas permis aux français de faire un choix pour élire une majorité absolue à l’ Assemblée nationale. Pire, depuis la création de Vème République, la représentation nationale ne permet pas d’apaiser et de répondre aux attentes du peuple. L’avenir de la France se fera donc par un jeu d’entente, de discussion, de négociation voir de petits arrangements pour conduire à une coalition majoritaire sur chaque texte présenté à l’Assemblée Nationale.